Le mois d’octobre a connu un important lot de nouveautés à découvrir dans ce bulletin. Saluons par exemple la signature du partenariat entre la FFAMHE et Black Armoury ou les initiatives fédérales mises en place pour l’accompagnement des jeunes associations. 

 

Pour ma part, je profite de ce bulletin pour annoncer qu’après la rédaction de 30 bulletins mensuels, je souhaite passer la main et me concentrer sur d’autres travaux au service de notre fédération. Depuis avril 2014, j’ai eu plaisir à recueillir l’actualité et à vous la partager. J’ai pu mener des échanges passionnants avec nombre d’acteurs. J’avoue avoir souvent ressenti un frisson en lisant en avant-première les articles et focus des spécialistes des diverses composantes des AMHE ! Je remercie tous les contributeurs pour leurs échanges et cet esprit de partage. J’espère avoir répondu aux attentes des chercheurs, pratiquants et passionnés d’Arts Martiaux Historiques Européens. 

 

Aussi, appel à tous les volontaires qui souhaitent reprendre ce bel outil : vous pouvez me contacter à bulletin@ffamhe.fr. J’assurerai encore la rédaction des bulletins de novembre et de décembre, mais à partir de janvier 2017, il faudra compter sur une nouvelle équipe ! 

 

Je profite de ces quelques lignes pour vous souhaiter à chacune et chacun tout le meilleur et une pratique toujours plus enrichissante de notre belle passion. Et surtout, un grand merci à tous les membres de l’équipe de rédaction qui m’ont accompagné durant ces années et qui ont toujours fait preuve d’efficacité pour assurer une parution régulière et de qualité.

 

Encore merci et à très vite.

 

Aurélien Nouvion, responsable de rédaction du bulletin

Partenariat FFAMHE – Black Armoury

Le 15 octobre 2016, lors de l’Assemblée Générale Ordinaire de la Fédération Française des Arts Martiaux Historiques Européens, un partenariat privilégié a été signé entre la FFAMHE et l’équipementier Black Armoury. Ces deux structures ont à cœur de promouvoir activement les AMHE en France, et leurs images à l'international.

 

Ce partenariat s’articule autour de trois grands axes :

• Le développement de nouvelles gammes de produits réalisées grâce à l’expertise de membres de la FFAMHE, en vue de répondre aux besoins spécifiques des AMHE (équipements, visuels pédagogiques, etc.).
• La création d'une gamme exclusive de produits FFAMHE. 
• L’accessibilité à du matériel de qualité pour la pratique des Arts Martiaux Historiques Européens, avec une réduction de 10% accordée à tous les clubs affiliés à notre fédération. Toutes les associations affiliées à la FFAMHE peuvent d’ores et déjà contacter notre partenaire.

Ce partenariat est signé pour une durée de six années et permettra ainsi à ces deux acteurs d’agir sur le long terme et proposer les meilleures améliorations possibles !

 

                        

Délivrance d’attestations pour les instructeurs

La Commission Parité et Egalité des Chances recrute !

La baïonnette, Histoire d’une escrime de guerre

Par Julien Garry

Le premier volume de la collection "Chroniques & Combats", portant sur la baïonnette, sera disponible en librairie dès lundi !

 

La Fédération Française des Arts Martiaux Historiques Européens soutient ce projet, initié par De Taille et d'Estoc, qui verra la publication de nombreux ouvrages portant sur le contexte historique des traditions martiales que nous étudions et pratiquons

Livre 1 de l’Opera Nova d’Achille Marozzo 

 

Taurhemachia 2016

Voilà ça y est, TaurHEMAchia 2016 c’est terminé, fini la compétition, fini le sparring libre, fini les super ateliers à Turin pour cette année. Pour ceux qui n'ont pas pu vivre cette expérience, je vais essayer d’en faire un petit récit personnel, en espérant vous donner envie d’y aller l’année prochaine.

 

Nous sommes donc partis à TaurHEMAchia avec une petite délégation française : Emmanuel et Franck de la Section d’Escrime Médiévale de l’USAE, Jérôme de l’Ost du Griffon Noir, Romain, Jean-Rémy et Paolo de Medieval Combat et enfin Emilie, ma femme, et moi de l’École Chevaleresque. Arrivés à Turin, nous avons rejoint le grand appartement que nous avions loué pour le week end. Nous y étions cinq et chacun a payé aussi peu cher qu’un lit dans une auberge de jeunesse, à l’exception près que nous disposions de tout le confort dont nous avions besoin : merci AirBnb. Après un petit resto le vendredi soir, nous nous couchons relativement tôt : nous voulons tous performer demain !

 

La matinée se déroule tranquillement pour moi : je ne concours que l’après-midi et surtout j’ai été invité à arbitrer quelques poules d’épée longue. Je profite donc des matchs au premier rang. Ils sont plutôt propres dans l’ensemble car les règles découragent les kamikazes et les participants font de leur mieux.

 

Une fois ma tâche d’arbitrage terminé je rejoins ma femme qui commence sa poule d’épée longue féminine. Il me faut la coacher, nous savons d'expérience que c’est important. La journée s’emballe, je me retrouve à coacher Paolo puis ensuite Jérôme, qui fait la performance de sa vie en se payant le luxe de gagner face à Ilkka Hartikainen. Enfin vient mon tour de concourir, et cette fois c’est à moi de me faire coacher. Heureusement d’ailleurs : les matchs que je gagne le sont en grande partie grâce à une bonne gestion du temps par mon coach. Est-ce Paolo ou Jérôme ? Je ne sais plus : les deux m’ont guidé à tour de rôle. 

Les éliminatoires se terminent. Nous avons tous fait de notre mieux mais hélas le niveau était très relevé et, sortis des poules ou pas, aucun français ne s’est hissé en demi-finale pour avoir l’honneur de combattre devant tout le monde. Aucun français certes, mais pas aucune française : Ma femme est en demi ! Le clan français se regroupe alors derrière elle pour la soutenir et l’encourager. Le niveau des filles est relativement homogène, ça va être dur mais tout est possible.

 

Je repars alors pour un tour de coaching. Mes conseils et à travers moi ceux de Paolo et de Jérôme ne doivent pas être trop mauvais, ou alors l’inspiration d’Émilie les contrebalance mais toujours est-il qu’elle gagne sa demi-finale dans un premier temps. Puis ensuite sa finale, et en étant derrière au score pendant une bonne partie du match s’il vous plaît ! 

Explosion de joie, bonheur, fierté, exultation : bravo ma chérie ! Difficile de redescendre pour apprécier la finale de l’open après ça. 

Vient ensuite la remise des prix, dehors, sur l’herbe, car il fallait bien laisser rentrer les basketteurs qui attendaient pour jouer ! Ma femme et moi ne sommes plus en état de faire attention aux détails, en plus nous sommes en train de comprendre qu’elle va gagner une feder, la même que celle qui est sur sa liste de Noël ! C’est pourquoi nous ne nous rendons pas vraiment compte que lorsqu’elle est appelée, c’est sous les couleurs de Medieval Combat au lieu de l'École Chevaleresque. Evidemment ces faux-jetons ne se lasseront pas de nous le rappeler tout le reste du week-end !

Nous terminerons la soirée au resto, avec tout le monde, bonne ambiance, beaucoup de pâte, de vin et énormément de fou rire. Mention spéciale à l’air penaud de Jacopo lorsque nous lui disons qu’il y a eu erreur de club pour l’annonce de la championne alors que tout le monde prend ça à la rigolade. On rentre à pieds, heureusement l’appartement est à 3 rues. La nuit est courte mais nous mettons quand même le réveil : demain il y aura plein de supers ateliers.

 

Nous arrivons au gymnase, pas complètement réveillé, mais nous ne sommes pas les seuls. Nous optons pour l’atelier de Jamie Steele sur l’épée de côté. Bonne pioche ! L’atelier est génial et nous nous régalons. J’enchaine sur l’atelier “Rapière et dague” de Rob Runacres qui est génial lui aussi pendant que ma femme suit celui de Keith Farrel sur l’épée longue allemande. J’y rencontre d’autres français que nous ne connaissions pas, le monde est vraiment petit.

 

Une petite pause-déjeuner et nous enchainons sur une démonstration des fameux ProGauntlet. La démonstration est convaincante, on pinaille sur quelques détails mais le fait est qu’on rêve tous d’avoir une paire de ces gants. S’ensuit une exposition, commenté par Roberto Gotti, très intéressante sur l’histoire des masques d’escrime. Ensuite plusieurs instructeurs nous font des démonstrations vraiment impressionnantes de leurs arts, seul ou à plusieurs en enchaînant de nombreuses passes d’armes, à vitesse rapide, voire très rapide, puis en nous expliquant à vitesse lente leur enchaînement.

Il est 16h00, je suis vanné. J’ai envie de rentrer à l’appart mais je n’abandonne pas encore : on ne va pas à TaurHEMAchia tous les jours ! Je tente alors de suivre un atelier vraiment intéressant de Fabrizio Filograna et Ilkka Hartikainen mettant en exergue les similitudes entre l’escrime philippine et l’escrime bolognaise. Hélas je suis vraiment claqué et mon corps se charge de me le rappeler en m’envoyant un bon vieux mal de crane qui me force à arrêter l’atelier avant la fin : direction l’appartement rapidement et en catimini, rideaux, il n’y a plus personne ! 

Merci aux organisateurs Jacopo, Davide et Alessandro pour le travail en amont et pour avoir sué sang et eau pour que cet événement se déroule aussi fluidement. Merci aux instructeurs de partager leur savoir, mais aussi pour leur patience. Et enfin, merci à tous les participants pour la bonne ambiance qui a régné tout au long du weekend.

Quelques points à retenir :

Matthieu Dutheil – École Chevaleresque,

Photos Andrea Boschetti : http://www.andreaboschetti.it/

 

Le Rossfechten Symposium, qui s’est tenu du 11 au 14 aout 2016, a été un moment privilégié pour tester l’enseignement de Pietro Monte. Le niveau des cavaliers et le port d’armures a permis de se rapprocher au maximum des conditions décrites dans le traité lors de cette première et modeste expérimentation opposant un cavalier et un piéton, armuré, armé d’une longue hache. L’atelier a été mené avec des hallebardes issues du Codex Guelf 83-4 August 8° (1591) dont les longueurs comprises entre 2,35 m et 2,50 m correspondaient le mieux aux descriptions des haches de Pietro Monte.

 

Le présent article reprend la structure de l’atelier et permet de répondre en partie aux questions posées alors.

 

 

• Que peut faire le cheval ?

 

Comme le signale Pietro Monte, le cheval n’est pas un si grand danger pour un piéton en armure renversé sur le dos. Pour la démonstration, deux chevaux sont passé à plusieurs reprises sur deux volontaires armurés (Thomas Schmuziger et Steve P). Dans l’ensemble ils évitent naturellement de marcher sur les personnes. Ainsi tout au plus avons-nous reçu quelques coups de sabots dans les membres et un dans la tête dont l’effet est bien moindre que celui d’un coup d’épée ou de lance en combat.

 

Il a été possible de faire poser le pied d’un des chevaux sur Thomas. Mais nous ne sommes pas allé plus loin de peur que le cheval ne glisse en prenant appui sur une plaque d’armure.

 

Quant au cavalier, il a été incapable de toucher le piéton sous son cheval, ni à l’épée (trop courte) ni à la lance courte.

 

Ainsi, nous en concluons que le piéton renversé par un cheval reste relativement bien protégé au sol. Evidemment nous n’avons pas pu étudier les conséquences de l’impact du cheval sur le piéton avant que celui-ci ne soit renversé au sol. Il n’a pas non plus été permis de tester les différentes allures du cheval au-dessus du piéton allongé.

 

• Que peut faire le piéton avec son arme ?

 

Dans un second temps, une fois en confiance, un des chevaux est resté immobile le temps que Thomas se glisse dessous. Pietro Monte énonce dans son texte que le piéton doit tenir son arme haute pour blesser le dessous du cheval. L’arme étant très longue, nous avions du mal à envisager comment la tenir vers le haut comme recommandé. Il s’avère qu’en saisissant l’arme vers la croix il est possible d’estoquer le dessous du cheval et surtout il est permis de lui ouvrir le ventre avec le fer de la hache. Une telle action serait mortelle pour le cheval au vu de sa physionomie.

 

 

Il s’agit de la partie la plus courte dans le texte original et qui nous a pourtant demandé le plus de tests. Voici les seules indications du traité: « [Il y a] peu de choses [à faire] contre ce qui précède : soit on fauche les talons du cheval, soit on blesse l'homme lui-même. » . Nous avons donc tenté différentes approches avec les différentes armes pour le cavalier. Le cheval commençait par charger sa cible avant de poursuivre le combat en tournant autour du piéton. Ce dernier devait dans un premier

 

temps tenter de blesser le cheval, notamment en attaquant les pattes. Puis il devait attaquer le cavalier sur un second passage.

 

• A l’épée :

 

Le cavalier a de grandes difficultés à protéger son cheval des coups et estocs de la hache. De plus, il ouvre sa ligne supérieure en défendant le cheval ce qui permet au piéton de revenir facilement au visage ou dans un défaut de l’armure. Il est encore plus facile de travailler sur le côté gauche du cheval, le cavalier ayant peu de possibilités avec son épée.

 

De son côté, en attaquant les jambes du cheval, le piéton expose sa tête, mais le cavalier assure de fortes blessures à son cheval en tentant une attaque directe au crâne du piéton. Les meilleurs chances du cavalier sont de maintenir la pression sur le piéton avec son cheval en marchant continuellement dans sa direction. Le piéton peut certes piquer le cheval au pas, mais il se retrouve vite débordé. Nous n’avons pas testé les deux autres allures, mais l’efficacité du pas laisse penser que le piéton se ferait rapidement renverser par une autre allure sans trop avoir le temps de causer de trop grands dégâts au cheval.

 

Evidemment il n’est possible que de supputer les conséquences d’une blessure au cheval (la montée en pression pourrait anesthésier le cheval contre la douleur ? le cheval pourrait paniquer ? …) et influencer l’issue du combat.

 

Note : Pietro Monte parle d’arme courte dans son traité, nous avons donc tester l’épée courte uniquement. Mais la longueur supplémentaire d’une épée deux main tenue à une main à cheval pourrait peut-être changer quelques résultats.

 

• A la lance courte (environs 2,80 m) :

 

La lance courte est très proche de l’épée contre une hache de près de 2m40 à la différence qu’il est encore plus compliqué pour le cavalier de défendre son cheval du fait de la moins grande maniabilité de l’arme à une main.

 

• A la lance longue (3,6 m)

 

La lance longue, rétablit davantage l’équilibre du combat. Le cavalier peut toucher de loin avant que le piéton ne soit à distance pour estoquer le cheval. Contrairement à l’épée, le piéton ne trouve pas d’avantage à attaquer à droite ou à gauche. L’armure peut même s’avérer pénalisante sans inverser l’emplacement des mains le long de la hampe suivant le côté que l’on cherche à assaillir.

 

Lorsque le combattant à pied arrive à laisser passer ou à écarter la lance, il est en mesure de frapper son opposant et sa monture sans que ce dernier ne puisse se défendre efficacement. Le fait de tourner autour du piéton laisse peu de possibilités de reprendre l’avantage du fait de l’encombrement de la longue lance face à la hache plus maniable à deux mains et d’une allonge redoutable. Il reste la possibilité au cavalier, après une charge ratée, de se rapprocher et de tenter une attaque avec le talon de la lance.

 

Encore une fois, le cavalier a intérêt à charger le piéton sans quitter la ligne. Cela justifie donc la tactique développée par Pietro Monte un peu plus bas.

 

Note : Lors de l’expérimentation, les deux cavaliers armurés (Thomas et Jean Pierre Venâncio) se sont retrouvés dans l’impossibilité de travailler casques fermés. En effet, leur opposant, au sol, sortait entièrement de leur champ de vision.

 

 

Selon les conseils de l’auteur, il faut conserver son courage face au cheval et sortir rapidement de la ligne en touchant l’animal. Si le cavalier est équipé d’une arme courte, il est en effet possible de lancer des estocs au poitrail du cheval avant de se laisser déborder. Un des tests à faible allure a permis au piéton de donner une dizaine de coups au cheval et d’estoquer le cavalier dans un défaut d’armure à l’aisselle avant de prendre un coup d’épée à la tête.

 

Pour ce qui est de la lance longue, aucun piéton n’a réussi à se concentrer sur le cheval en quittant la ligne de charge. Il fallait d’abord s’occuper de la lance avant de revenir vers le cavalier. Pour cela deux techniques principales ont émergé. La première consiste à rabattre la lance vers le bas. La seconde consiste à éjecter la lance vers le haut à l’aide d’une frappe sèche. La réussite n’est évidemment pas systématique, il nous est donc arrivé de voir le piéton se faire renverser par la lance.

 

Le jeu s’est prolongé par la charge directe de deux cavaliers contre un piéton, plus par amusement que par expérimentation. Le piéton, Jack Gassmann, s’est alors jeté au sol entre les deux chevaux avant de se relever pour tenter de neutraliser les cavaliers en train de faire demi-tour.

 

 

Cet atelier n’a certes pas répondu à toutes les interrogations car nous avons rapidement touché aux limites de l’expérimentation, à savoir : ne pas prendre le risque de blesser le cheval, le cavalier ou le piéton. Cependant il a été permis de valider la majorité des points d’enseignement de Pietro Monte et d’ouvrir de nouvelles perspectives sur le combat opposant un cavalier à un piéton armé d’une arme longue. Pietro Monte dispensant uniquement une approche tactique dans son traité, et à aucun moment le côté technique, il serait bon maintenant d’explorer les répertoires techniques existant dans d’autres sources se rapprochant de l’expérimentation.

 

Pour terminer, je vous invite, sans plus tarder, à visionner le montage vidéo de l’atelier réalisé par Michele Stara (merci pour son travail !) : https://www.youtube.com/watch?v=iCBmluyt69U

Vidéo : Obstacle Run in Armour

La vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=pAzI1UvlQqw

 

Un petit mot de Daniel Jaquet :

 

Le pompier et le soldat en équipement complet portent la même charge qu'un combattant en armure du XVe siècle. Ce court-métrage de vulgarisation scientifique a pour objectif de nuancer les idées reçues largement diffusées sur le poids et l'imperfection de armement médiéval, en montrant une performance physique comparant les trois. Réalisé pour l'exposition en cours "Armatus corpus" au musée militaire vaudois (Château de Morges), il a fait l'objet d'une campagne de financement participatif (Kickstarter) à laquelle la FFAMHE a contribué; l'organisation est citée dans les crédits du film comme partenaire.

 

Je remercie de tout coeur la FFAMHE pour son soutien et je me tiens à disposition pour les membres intéressés à consulter les données récoltées lors de la course pour raisons scientifiques. Que les intéressés me contactent! daniel.jaquet@unige.ch

 

Bon visionnage ! 

DECOUVRIR D’AUTRES AMHE ?

Stage canne et bâton Français type "Joinville"

Stage

12 novembre

la Verpillière

Le "Cercle d'armes du Dauphiné" organise un stage tous niveaux sur la canne et la bâton Français type "Joinville", le Samedi 12 Novembre 2016 à la Verpillière.

 

Pouvez vous enregistrer ce stage sur la liste du site de la fédération et bien sûr le diffuser sur vos pages FB.

Bien cordialement, GEOFFREY FRANCO      06 20 05 96 07     Administrateur - Instructeur

THEMA Castagne 16

stage

03 et 04 décembre 2016

Toulouse (31)

Suivant le modèle du Toulouse HEMA Gathering (voir THEMA précédents : http://ostdugriffonnoir.com/events/anciens/thema/ ), c’est à dire un week-end avec un thème et plusieurs instructeurs, le THEMA Castagne sera consacré au combat XIXe, combat de rue et lutte.

Lieu: Gymnase Maurice Bécanne, Toulouse              Tarif : 80 €

Inscription : 
https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeixzsn7ssdKO5EBHVPYi
bqsFzOzccoOED4eE7efM9pCrqCYA/viewform?c=0&w=1
L’event sur facebook : https://www.facebook.com/events/154030665057113/