Différences entre les versions de « Joseph Charlemont »
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| + | Vivant dans la pauvreté, et ne parvenant pas a trouver de métier stable, il s'engage dès ses 17 ans auprès du 2em régiment de zouaves, à Oran. | ||
| + | Il rencontra a Aïn-Kial un détachement de soldats du bataillon d'Afrique qui s'amusaient à jouer du chausson, ce fut ses premières leçons de boxe. De retour à Paris, ne trouvant pas de travail, il se rengage pour le 19em bataillon de chasseurs à pied. Il y avait cette fois une salle de boxe, Charlemont s'y inscrit. Les professeur lui trouvant rapidement les qualités et le jeux inné le présente et lui font obtenir le grade de prévôt. Il devient rapidement un tireur des plus habile. | ||
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| + | En 1861, il allât trouver Louis Vigneron qui organisait alors un assaut public, lui réclamant de pouvoir y paraitre. Après un rapide échange gants au poings, Vigneron est convaincu de ses capacités. Par la suite il fréquente, travail et enseigne à la salle Vigneron. | ||
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| + | Lorsque le 19em régiment part pour Arras, Charlemont y enseigne la canne et la boxe et y voit l'occasion de transmettre ce qu'il vient d'apprendre à Paris. | ||
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Version du 23 janvier 2017 à 13:58
Joseph Charlemont (°1839 à Lesdain - +1918), fut un maître d'armes et entraîneur de boxe française. Il était le père de Charles Charlemont qui exerça les mêmes activités.
Vivant dans la pauvreté, et ne parvenant pas a trouver de métier stable, il s'engage dès ses 17 ans auprès du 2em régiment de zouaves, à Oran. Il rencontra a Aïn-Kial un détachement de soldats du bataillon d'Afrique qui s'amusaient à jouer du chausson, ce fut ses premières leçons de boxe. De retour à Paris, ne trouvant pas de travail, il se rengage pour le 19em bataillon de chasseurs à pied. Il y avait cette fois une salle de boxe, Charlemont s'y inscrit. Les professeur lui trouvant rapidement les qualités et le jeux inné le présente et lui font obtenir le grade de prévôt. Il devient rapidement un tireur des plus habile.
En 1861, il allât trouver Louis Vigneron qui organisait alors un assaut public, lui réclamant de pouvoir y paraitre. Après un rapide échange gants au poings, Vigneron est convaincu de ses capacités. Par la suite il fréquente, travail et enseigne à la salle Vigneron.
Lorsque le 19em régiment part pour Arras, Charlemont y enseigne la canne et la boxe et y voit l'occasion de transmettre ce qu'il vient d'apprendre à Paris.
Bibliographie
- Traité théorique et pratique de la boxe française, 1877
- L'art de la boxe française et de la canne : nouveau traité pratique et théorique, 1899
- La Boxe française, historique et biographique, souvenirs, notes, impressions, anecdotes, 1899: https://archive.org/stream/laboxefranaisehi00char
Sources numérisées
- 1877 - Traité théorique et pratique de la boxe française
- 1899 - L'art de la boxe française et de la canne : nouveau traité pratique et théorique
- Les Sports modernes illustrés - 1905-1906 - Chapitre sur la boxe : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6359149p/f000099.tableDesMatieres
- Les Sports modernes illustrés - 1905-1906 - Chapitre sur la canne : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6359149p/f115.image
Notes et références